Crédit immobilier : la révolution de l’assurance-emprunteur

la révolution de l'assurance-emprunteur

Crédit immobilier : la révolution de l’assurance-emprunteur

1932 1074 Cabinet Farout

En ces périodes où la hausse des taux et le resserrement du robinet du crédit pèsent sur le pouvoir d’achat des acquéreurs, toute économie est bonne à prendre. Et il est possible d’en réaliser de très importantes sur l’assurance-emprunteur dont la résiliation est encore facilitée à compter du 1er septembre 2022. Ce qu’il faut savoir.

A trop se focaliser sur le taux des crédits immobiliers, nombre d’acquéreurs en oublient d’étudier celui de l’assurance-emprunteur. Lequel peut, dans le contexte actuel, entraîner un refus de prêt pour cause de dépassement du taux d’usure. Sans compter que cette garantie – non obligatoire au moment de la souscription d’un crédit mais quasi-incontournable pour prétendre en obtenir un – est susceptible de représenter jusqu’à un tiers du coût total de l’emprunt.

Or, contrairement aux idées reçues, rien n’oblige un particulier à signer l’assurance-emprunteur proposée par son établissement bancaire. « Lors des négociations, le fait d’adhérer à cette couverture ‘maison’ peut néanmoins jouer sur le taux du prêt. Pour mettre toutes les chances de son côté, il est donc parfois plus simple de la souscrire. Mais, avec l’idée de la résilier au profit d’un contrat plus attractif le plus rapidement possible », analyse Astrid Cousin, directrice de la communication du courtier Magnolia.

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