Malgré le chômage partiel et la perte de revenus des indépendants, la baisse de consommation et le soutien du revenu des ménages ont conduit à une accumulation élevée d’épargne. Pour le centre de recherche en économie de l’OFCE, toute la question est de savoir si elle va être réinjectée dans l’économie et sur quels secteurs.
C’est un paradoxe alors que chaque jour sont égrenés des prévisions de défaillances d’entreprises et de suppressions d’emplois. Mais les 16 semaines qui se sont écoulées depuis le 16 mars ont moins fait baisser les revenus qu’elles n’ont réduit la consommation. Résultat : une accumulation d’épargne plus ou moins forcée chez les ménages français.
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